Le pari Marseille du pâtissier
Quand un Marseillais débarque à Paris, c’est pour faire les choses en grand. Madeleines géantes, cakes colossaux et mousse au chocolat au saladier. Laurent Favre Mot arrive coté rue des Martyrs, soleil et sourire garantis.
C’est qui qu’a la plus grosse?
Laurent Favre Mot qui vient d’ouvrir sa pâtisserie dans le 9è ridiculise la xxl de Conticini avec une madeleine ultra géante qui ne tient même pas dans la main. Et Marseille invente le pornProust.
Retour à Octopus
Des années que je n’étais pas retournée chez Fabien Lefebvre… Mon déjeuner à Béziers a donc été la redécouverte d’une cuisine en mouvement perpétuel qui a su se remettre en question. Octopus, ça a été la claque du printemps.
Sassotondo : la Toscane à Paris
Si vous allez à Sassotondo, laissez vous faire, prenez le menu « free » juste parce que dit en italien, c’est déjà délicieux. Et la question n’est pas si vous allez à Sassotondo mais allez à Sassotondo!
Cyril Lignac : le virage
Cyril Lignac tourne la page. Fini le bistrot bourg’ so St Germain des Prés. Son Chardenoux tourne la page 2015 en version cocktails, tapas, brunch et musique!
Le restau qui voit Marseille en face
D’habitude à Marseille, on se met à table et on voit la mer. Ici, on est devant la mer et on voit Marseille! Aujourd’hui on prend le bateau pour Marseille en Face. Ici, la vue prime sur l’assiette mais tellement de plaisir à se mettre à table hors du monde!
Sun Sète
Du lever au coucher du soleil, Sète est chouette! C’est la ville qui fait du calamar de l’art, du poulpe des tielles et des huîtres des guirlandes. Ville de bouffe et de culture, du sun Sète au matin!
A deux à Sète
Dans les écoles de journalisme, on vous apprend qu’à partir de deux sources, l’info est fiable. Il n’y a plus qu’à balancer. Et en plus j’ai vérifié: Paris-Méditerranée à Sète, c’est top!
Instant tea à l’Hôtel
Profitons des vacances ou de ce mardi frisquet pour aller se réfugier à l’Hôtel. Dans ce magnifique établissement du 6è, se cache un sérieux tea time qui fait passer de douces heures. Une escapade en scones et champagne.
Tri, pocket vietnamien
On y rentrerait une mini pas beaucoup plus. Tri a la taille d’un garage pas beaucoup plus. Mais cette histoire vietnamienne tient la route depuis de longues années. Maman cuisine depuis 22 ans; autant vous dire que la maitrise du bo bûn et des xiu mai (5,5€), c’est plutôt son truc. il faudra donc passer le non décor de cette mini adresse planquée derrière le port. Entre le Tabou dont on se demande s’il n’a pas accueilli la crème des « on te voit plus aux soirées » et l’arrière art déco de la Résidence, la devanture de Tri laisse à penser que le viet a fermé depuis des années. Pourtant non, famille, riz cantonnais et nems sont bien en place. La carte trompe l’ennemi par des intitulés redondants: les buns, les bung, etc, c’est tout des bo buns! En fait, il n’y a pas des masses de choix et c’est plutôt …