Rice cooking
C’est pas parce que c’est l’année du chien qu’on va trimer comme eux … L’année du chien ne sera pas chienne! L’idée en 2018, au contraire, c’est de tout miser sur les robots de tout s’occupe. Un magnifique rice cooker flambant neuf aux couleurs du parti vient justement de débarquer dans ma cuisine, en même temps qu’un livre sur le rice cooking. C’est ainsi que je m’aperçois que je dors depuis des années aux cotés d’une machine de guerre beaucoup plus efficace en cuisine que les 8000 guerriers en terre cuite de Xian. Le rice cooker s’avère en fait un mini auto cuiseur vapeur pour « les inconditionnels du riz et pas seulement » indique le petit ouvrage paru chez Larousse qui explique comment cuire dans une riteuse, légumes, quinoa, boulgour, blé, crozets, puddings, soupes, crèmes au chocolat et bien sûr à peu près tous les riz… : thaï, gluant, basmati, japonais, coco, sauvage, au lait, etc! Simple, économique (autour de 60€ le Brandt), efficace. L’appareil de cuisson génial pour petits budgets, petits espaces, grosses faims (on cuit pour 4), esprits rétifs à la cuisine (appuyer sur cuire, attendre, garder chaud). tandis que d’autres Il y en a qui souping, juicing, happy cycling, running, manging, fooding, moi je rice cooking! Le rice cooker c’est l’art du foutre rien foutre, encore plus simple que le couper foutre. Et ça tombe bien, c’est mercredi, c’est sushi party.
Recettes au rice cooker. Larousse. 9,95€. fev 2018