Paul Bert : andouillette et Pfifferling, what else?
Paul Bert, samedi soir. D’abord, il y avait Pfifferling. La Cuvée des traverses. « C’est très bon », me dit George qui vient instantanément de s’initier et de prendre goût à la nature de l’Anglore. Excellente entrée en matière. Au tableau, la provenance des viandes: veau, cochon de lait, viande à tartare, « né, élevé, abattu en France. « C’est pas une vie », sourit encore mon George.
Alors j’ai fait l’andouille. « Andouillette de collier » ( + gratin dauphinois) exceptionnelle. Un tube de tripes de cochon hyper jourflu, tout croustillant sur le dessus, avec des abats bien rangés par couleur et saveur. Une espèce de puzzle qui se défait avec la fourchette et restitue en bouche ce méli mélo gras et heu…fermier! Sacrément. Bon certes, c’est pas léger léger mais il faisait froid ce soir de janvier et mettre un bon coup de collier sur cet hiver là, ça fait un bien fou || Andouillette 24,5€ | Pfifferling, 24€